COUP DE COEUR DE SOPHIE
Dans ce roman inspiré d’une histoire vraie, Sébastien Spitzer, (prix Stanislas 2017 pour le roman "Ces rêves qu’on piétine"), raconte la terrible épidémie qui a sévi il y a près de 150 ans dans la ville de Memphis, en ôtant la vie à 5000 de ses habitants et complètement ruiné son économie.
Ce qui marque, c'est que Sébastien Spitzer a écrit ce roman bien avant que le virus COVID débarque dans nos vies. Aurait-il écrit ce roman s’il avait pu savoir d’avance ce qui nous pendait au bout du nez ? Eh bien oui !
"Je l’aurais écrit quand même ce roman. Car l’essentiel, ce n’est pas l’histoire d’épidémie, mais l’histoire d’amour, de courage, de rédemption qu’il raconte" précise-t-il.
Sébastien Spitzer a donc vécu pendant des mois d'écriture avec une épidémie avant de passer à une pandémie dans sa propre vie. "C’est fou de se retrouver ainsi rattrapé par la réalité, de voir l’Histoire bégayer" avoue t'il aujourd'hui.
Dans une ville aux prises terribles de la fièvre jaune, les habitants de Memphis doivent faire un choix : rester et courir le risque d’attraper la maladie, ou prendre la poudre d’escampette. Parmi ces personnages, Keathing, un journaliste acquis aux idées du Ku Klux Klan et Anne Cook, gérante du Mansion House, l'un des bordels les plus chics et les plus courus de Memphis. Tous deux décident de rester. Ils vont agir et faire des choses qu’ils n’auraient jamais pensé faire. Lui en se rangeant aux côtés d’un ancien esclave noir, elle en transformant son bordel en hôpital de fortune.
"L’épidémie a agi sur eux comme une sorte de catharsis" indique Sébastien Spitzer. "Pendant ce moment critique, leur regard sur le monde a complètement changé et c’est pourquoi cette histoire m’a autant touché. Elle est d’une exemplarité, d’une universalité qui me semble stupéfiante".
Un roman PASSIONNANT ET BRÛLANT qui nous contamine dès les premières lignes. REMARQUABLE comme les précédents romans de l'auteur.
À l’issue d’une manifestation à Tunis, une jeune française est arrêtée et conduite à La Manouba, la prison pour femmes.
Entre ces murs, c’est un nouvel ordre du monde qu’elle découvre, des règles qui lui sont dictées dans une langue qu’elle ne comprend pas.
Au sein du Pavillon D, cellule qu’elle partage avec vingt-huit codétenues, elle n’a pu garder avec elle qu’un livre, Les Contemplations de Victor Hugo.
Des poèmes pour se rattacher à quelque chose, une fenêtre pour s’enfuir.
Mais bientôt, dans les marges de ce livre, la jeune femme commence à écrire une autre histoire. Celle des tueuses, des voleuses, des victimes d’erreurs judiciaires qui partagent son quotidien, qui lui offrent leurs regards, leurs sourires et lui apprennent à rester digne quoi qu’il arrive.
Vibrant d’humanité, Les Contemplées, est un roman autobiographique enflammé qui livre l’incroyable portrait d’un groupe de femmes unies face à l’injustice des hommes.
Tout simplement Magnifique.
Roanne, 13 ans, est forcée à passer ses vacances avec son oncle, un brin revêche et grincheux qui vit dans un phare en ruine sur une île sans Wi-Fi.
Dès son arrivée, Roanne est déterminée à s’en aller au plus vite de ce tas de cailloux et de laisser son oncle en solitaire planté sur son îlot au large de la côte Atlantique, avec pour toute compagnie une mouette rieuse et les rumeurs de l’océan.
Roanne est adepte de romans d’horreur et elle découvre peu à peu de fascinants mystères sur l'île, d’autant plus que, dans la bourgade du coin, on raconte que des naufrages auraient lieu les soirs de pleine lune.
Un bateau de pêche porté disparu, une voix d’enfant qui l’appelle chaque nuit. : autant d'éléments qui l'interrogent sur la véritable identité de son oncle...
Les lecteurs ne seront pas au bout de leur surprise avec ce récit entre mystère, aventure et merveilleux !
A partir de 11-12 ans