Dýja est « mère de la lumière », elle est sage-femme, comme le fut sa tante, sa grand-mère et son arrière grand-mère.
Ses parents dirigent une entreprise de pompes funèbres et sa sœur est météorologue : dans sa famille, naître, vivre et mourir, cela au milieu de quelques tempêtes est événement aussi beau que fragile ou éphémère.
Ce nouveau roman de l'auteure islandaise Audur Ava OLAFSDOTTIR est suggestif, porté par des élans de pensées vagabondes sur l'existence, ses beautés, ses périples, ses tempêtes et ses accalmies multiples.
Tout est subtil et délicieux, même le banal et l'ordinaire sous la plume d Audur Ava OLAFSDOTTIR.
Elle entremêle humour, poésie et philosophie de vie avec brio. Elle suggère que "chaque vie qui s’allume est un univers. Et que chaque vie qui s’éteint est une galaxie".
Une lecture comme un moment de grâce.
Ilaria, huit ans, est enlevé par son père à la suite de la rupture de ses parents. Commence alors un road-trip à deux à travers l’Italie, raconté à hauteur d’enfant et peuplé de rencontres qui changeront Ilaria à jamais. Un superbe monologue intérieur à l’écriture ciselée.
Nicolas Martin nous livre un roman d'anticipation à la croisée de 1984 et de La servante écarlate. Baisse des naissances et montée de l'extrême-droite, suivez le journal de bord de Typhaine, une des mères pondeuses de la Future Nation. Bouleversant, voire glaçant, et surtout révoltant !